[Pernety, Les Fables Égyptiennes et grecques, Archè, 2004, tome 1, p. 573]

1 – Il avait dit que la Lune des philosophes est leur Mercure, et qu’ils lui ont donné plusieurs noms, entre autres ceux de terre subtile, d’eau-de-vie, d’eau ardente et permanente, d’eau d’or et d’argent, enfin de Vénus hermaphrodite.

[Vaughan, T., Œuvres complètes, La Table d’émeraude, 1999, p. 47]

2 – Le soleil et la lune sont deux principes magiques, l’un actif, l’autre passif. Ce sont le masculin et le féminin. Quand ils avancent, avancent aussi les roues de la corruption et de la génération. Mutuellement, ils dissolvent et composent, mais à proprement parler, c’est la lune qui est « l’organe de transmutation inférieure de la matière ». Ces deux luminaires sont multipliés, et fructifient en toute génération particulière.

Voir : Malkout 1, Vent 2, Athéna 2, Artémis 1