DI SANGRO Raimondo (Prince de San Severo),Dissertation sur une lampe antique. Le mystère des lampes perpétuelles.
Réf.: 12234
Dissertation sur une lampe antique. Le mystère des lampes perpétuelles.
Marie Fé d'Hooghvorst (éd.).
Marie Fé d'Hooghvorst (éd.).
13,00 €
Prix : 13,00 €
Description du produit
Dissertation sur une lampe antique. Le mystère des lampes perpétuelles.
Marie Fé d'Hooghvorst (éd.).
Beya Editions, Grez-Doiceau, 2022.
N°2 de la Collection Améthyste,
In-8°,118 pp., qqs ill. en n&b et couleurs.
Broché, livre neuf.
Voilà qui est étonnant : alors qu'on recense au cours de l'histoire des très nombreux témoignages de découvertes de lampes dites perpétuelles, que ce soit dans des tombeaux égyptiens, romains, grecs ou même au Tibet, etc., notre Prince de San Severo va s'évertuer, dans un style on ne peut plus rationnel et scientifique, à en démontrer l'existence. Il ne s'agirait nullement de lampe, mais de phosphore… Quant au phosphore auquel il est souvent fait allusion dans l’ouvrage pour la confection de cette lampe, Louis Cattiaux, dans une lettre à ses amis en janvier 1953, explique : « Le Phosphore est bien proche à mon avis du mystère tant recherché car il aimante effectivement la lumière du ciel et brille dans les ténèbres. J’y pense depuis le début de ma quête. Et Kunckel l’a trouvé en cherchant la Pierre. »
Marie Fé d'Hooghvorst (éd.).
Beya Editions, Grez-Doiceau, 2022.
N°2 de la Collection Améthyste,
In-8°,118 pp., qqs ill. en n&b et couleurs.
Broché, livre neuf.
Voilà qui est étonnant : alors qu'on recense au cours de l'histoire des très nombreux témoignages de découvertes de lampes dites perpétuelles, que ce soit dans des tombeaux égyptiens, romains, grecs ou même au Tibet, etc., notre Prince de San Severo va s'évertuer, dans un style on ne peut plus rationnel et scientifique, à en démontrer l'existence. Il ne s'agirait nullement de lampe, mais de phosphore… Quant au phosphore auquel il est souvent fait allusion dans l’ouvrage pour la confection de cette lampe, Louis Cattiaux, dans une lettre à ses amis en janvier 1953, explique : « Le Phosphore est bien proche à mon avis du mystère tant recherché car il aimante effectivement la lumière du ciel et brille dans les ténèbres. J’y pense depuis le début de ma quête. Et Kunckel l’a trouvé en cherchant la Pierre. »